Lutter contre les mauvaises herbes : plus simple que vous le croyez

La lutte contre les mauvaises herbes
Que vous ayez le pouce vert ou non, l’objectif reste toujours le même: éliminer toutes les mauvaises herbes de nos plates-bandes. Afin d’y parvenir, vous pouvez la construire à l’aide de bons matériaux et effectuer un bon entretient une fois par semaine. C’est la combinaison parfaite!
La prévention, c’est l’idéal!
« vaut mieux prévenir que guérir »
Des matériaux de bonne qualité
Que ce soit la terre, le paillis, le tissus géotextile ou la bordure que vous utilisez, il est important qu’ils soient tous de bonne qualité afin d’en garantir une bonne durabilité et diminuer drastiquement la quantité de mauvaises herbes s’y infiltrant. L’un des moyens d’en vérifier sa qualité est de demander conseils à la jardinerie près de chez vous. De cette manière, vous obtiendrez exactement ce que vous chercher en terme de prix et de qualité.
Une bordure bien installée
Lors de l’installation de votre bordure, vous devez vous assurer que celle-ci crée une barrière complète entre votre pelouse et la terre de votre plate-bande. De cette manière, vous empêchez les mauvaises herbes de votre pelouse d’entrer à l’intérieur de votre plate-bande et vice versa.
Le paillis et le tissus géotextile : vos meilleurs amis
L’ajout du paillis ou d’un tissus géotextile à votre plate-bande rend la vie beaucoup plus difficile aux mauvaises herbes. D’un côté, il leur est beaucoup plus difficile d’accéder au sol et de s’enraciner, et de l’autre, il permet de donner de nouveaux nutriments à vos plants lors de leur décomposition.

La dernière étape…
Donnez-y un peu d’Amour!
Le binage
Le binage consiste à gratter, à l’aide d’une binette ou d’un autre outil à votre disposition, la surface de vos plates-bandes afin de déraciner toutes les nouvelles pouces de mauvaises herbes. Idéalement, vous devriez faire cette petite activité une fois par semaine. De cette manière, vous prévenez la pousse de mauvaises herbes avant même qu’elle devienne un problème majeur.
